MAUVAISES HABITUDES
Manger vite,
avaler sans mastication
BONNES HABITUDES
– Pas d’insalivation
– Pas de destruction des bactéries par l’enzyme lysozyme (voir bénéfice 7)
– Pas de prédigestion des amidons par l’enzyme alpha-amylase (voir bénéfice 5)
– Les bouchées ne sont pas déstructurées par l’estomac ni par l’intestin grêle, les aliments ne sont pas assimilés par le corps, sont rejetés directement dans le colon (voir bénéfice 1-2)
– Pas de satiété, on mange plus que nécessaire (voir bénéfice 6)

INDUIT :
– Remontées acides
– Brûlures stomacales
– Lourdeurs
– Ballonnement
– Putréfactions
– Gaz
-Constipation
– Colites

*Stress au repas – pas de plaisir – discussions houleuses – disputes
*Manger trop
– Mastiquer 20 à 50 fois
– Essayer de reposer la fourchette entre chaque bouchée




















*Respirations – Relaxations – Plaisir – Joie du partage
*Calme
*Alléger les quantités d’aliments ingérés
*Frugalités

IMPORTANCE DE LA MASTICATION

Bénéfice N°1
MÉCANIQUE
Broyer les aliments pour alléger le travail musculaire de l’estomac

Bénéfice N°2
MÉCANIQUE

Humidifier ou diluer les aliments pour favoriser le travail biochimique de l’estomac et rendre possible les autres bénéfices

Bénéfice N°3
ORGANOLEPTIQUE
Une fois humidifiés, les aliments induisent une réaction gustative Saveurs (acide, sucré, salé, amer, piquant) arômes (voie rétro-olfactive) et texture
(Organoleptique : qui est capable d’impressionner un récepteur sensoriel)

Bénéfice N°4
PSYCHOAFFECTIF
Passif :
Plaisir ou déplaisir – Actif : Mobilisation de la volonté

Bénéfice N°5
BIOCHIMIQUE
Avec action de l’alpha-amylase ou ptyaline salivaire dissociant les amidons en maltose et dextrine

Bénéfice N°6
SATIÉTANT & AMINCISSANT

Une mastication plus longue induit un effet réplétif et modérateur sur l’appétit

Bénéfice N°7
ASEPTISANTE
Via le lysozyme salivaire, protéine désinfectante

Bénéfice N°8
BIO-ÉNERGÉTIQUE
La muqueuse buccale capte la part « prânique » ou « éthérique »
des aliments

Bénéfice N°9
PROGRAMMATION
Digestive :
les premières informations codent le bon déroulement des actions enzymatiques à venir (via l’hypothalamus)